61M€ pour Kylian Mbappé : Le PSG condamné, c’est totalement validé !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Il y a quelques jours maintenant, le conseil des prud’hommes rendait son verdict dans le conflit qui opposait Kylian Mbappé et le PSG. Et voilà que le club de la capitale a été condamné à verser 61M€ à son ancien joueur qui évolue aujourd’hui au Real Madrid. Réagissant à ce verdict, Pierre Ménès estime qu’il est tout à fait logique compte tenu du dossier.

Afin de s’y retrouver financièrement avec le départ libre de Kylian Mbappé, le PSG pensait avoir la parole du Français pour qu’il renonce à plusieurs millions d’euros. Mais voilà que le désormais joueur du Real Madrid n’avait pas forcément la même version et c’est ainsi qu’il réclamait 55M€ de salaires et primes impayés. Le conseil des prud’hommes a d’ailleurs donné raison à Mbappé puisque le PSG a été condamné à lui verser 61M€.

« Je ne voyais pas comment le PSG ne serait pas condamné »

Sans document écrit, il était impossible pour le PSG de prouver l’accord passé à l’oral avec Kylian Mbappé. C’est ainsi que sur sa chaine Youtube, Pierre Ménès a confié après cette condamnation du club de la capitale : « Je me suis assez régulièrement exprimé sur ce conflit pour dire que je ne voyais pas comment le PSG ne serait pas condamné à verser a minima les 3 mois de salaires. Evidemment, ils ont été condamné à verser ce qui était prévu par contrat et qui n’a jamais été infirmé par un autre contrat ».

« Une promesse verbale en droit du travail, ça n’existe pas »

« La rumeur, la légende, la fausse ou vraie info, personne ne le sait, qui dit que Mbappé aurait verbalement dit qu’il abandonnerait des primes, le problème c’est qu’une promesse verbale en droit du travail, ça n’existe pas », a poursuivi le journaliste sportif.

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