Un joueur de l’OM a frôlé la catastrophe, il raconte tout
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Victime d’une lésion à l’ischiojambier droit, le 26 mars dernier, lors de la rencontre entre la France et le Chili, Jonathan  Clauss est déjà de retour sur les pelouses. L'international français est remis sur pied et postule, désormais, pour une place de titulaire face à l'Atalanta Bergame ce jeudi soir. Pourtant, il y a quelques semaines, il n'en menait pas large.

Jonathan Clauss a craint le pire. Sorti sur blessure le 26 mars dernier lors de la rencontre entre l'équipe de France et le Chili, le joueur de l'OM craignait alors une longue absence, voire un forfait pour le prochain Euro, l'un de ses objectifs de l'année. Finalement, les examens ont révélé une simple lésion de l'ischiojambier droit. Un mois après, Clauss était déjà de retour sur les pelouses de Ligue 1. Remis de cette blessure, il pourrait bien débuter la demi-finale aller de Ligue Europa face à l'Atalanta Bergame ce jeudi soir.

Frayeur pour Jonathan Clauss

Lors d'un entretien accordé à Maritima, Clauss est revenu sur cette frayeur. « C’est une blessure que je n’avais jamais connue. Forcément c’est inquiétant, surtout lorsque l’on connaît les échéances qui arrivent. J’ai eu peur pour mes objectifs, ma fin de saison, mais aussi l’OM. Car je me suis dit que j’allais rater le Clasico, les matches de Ligue Europa… » a confié l'international français, qui a pu compter sur le soutien de l'un de ses amis. 

Clauss a été vite remis sur pied

« J’ai eu la chance d’avoir un kiné de Strasbourg qui est capable de venir lorsque j’en ai besoin. Je lui ai écrit pour qu’il me soigne le plus efficacement possible. Je faisais mes matinées à l’OM et lorsque je rentrais chez moi l’après-midi, c’était 6 heures de soin. On a su travailler avec l’OM pour que chacun donne son ressenti. C’est ce qui m’a permis d’avancer rapidement » a confié Clauss.

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