OM : Barbecue, saucisson, Francis Cabrel… Ces anecdotes croustillantes sur Gignac !
La rédaction

Connu pour son abnégation à toute épreuve sur le terrain, Gignac l’a également été pour son aptitude à divertir un vestiaire ou à afficher quelques kilos en trop. Ces anciens partenaires font le récit de différentes anecdotes.

Longtemps décrié pour sa forme physique loin d’être optimale, André-Pierre Gignac a réussi à inverser la tendance et retourner l’opinion en sa faveur. Il semble pourtant que de nombreux joueurs ayant évolué avec lui affirment dans le quotidien 20 Minutes qu’il est un joueur très professionnel pour ce qui est de l’envie et la détermination.

« IL CHAMBRE, BLAGUE ET VA PARFOIS TROP LOIN »

« Dans le groupe, il mettait toujours l’ambiance dans le vestiaire », raconte Jean-Philippe Sabo passé par l’OM. « C’est quelqu’un de très jovial qui a toujours la bonne humeur. On allait parfois chez lui faire des barbecues (…) Quand je le vois aujourd’hui, je le trouve physiquement beaucoup plus affûté qu’à l’époque. On voit qu’il a perdu du poids ». Également ancien partenaire de Gignac à Toulouse, Hérita Ilunga confirme ces propos : « Il est tout le temps joyeux, il chambre, il blague, va parfois trop loin, mais on s'en fiche parce que c'est gentil. »

L'ÉPISODE DU SAUCISSON COUPÉ AU CANIF !

Jacky Leglib, avec qui Gignac a joué à Pau, durant six mois sous forme de prêt, témoigne du fait que l’attaquant martégal est toujours égal à lui-même : « Je crois qu’il n’a pas changé : un éternel gamin, chambreur, mais sans avoir le "teston". Un vrai mec cool. Il est arrivé dans le vestiaire et la première chose qu’il a dite, c’est: "moi c’est pas André-Pierre, c’est Dédé". Pour notre premier déplacement, à Raon l’Etape, la coutume veut qu’un nouveau chante une chanson. Il a fait « Petite Marie » (chanson de Francis Cabrel) en tapant sur une bouteille de Perrier (il rigole). Ça nous a flingué les oreilles, mais on était plié de rire. Au retour, dans le bus, il a sorti du sauciflard de son sac et a commencé à le couper avec son canif. On a tout de suite compris à qui on avait affaire. Le mec venait de Lorient, mais n’était pas un grand pro: il mangeait n’importe quoi, c’est pas un mythe. »

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