L'ancien sélectionneur de l'Allemagne possède un avis bien tranché sur la situation de Liverpool et ne manque pas de délivrer ses idées pour redresser la barre.
Jurgen Klinsmann n'est peut-être pas si «clean» qu'il en a l'air. L'ancien sélectionneur allemand, en 2006, s'est trouvé un hobby très intéressant: donner son point de vue pour remettre Liverpool dans le droit chemin. Quelle noble attention, mais ce geste est tout sauf anodin. En effet, l'ancien attaquant de Monaco a rencontré récemment les propriétaires des Reds, George Gillett et Tom Hicks, relate le Sun. Et visiblement, ce n'est pas pour évoquer un problème de rasoir... Klinsmann projette en effet de révolutionner à sa manière la destinée de Liverpool. Et cela passe par des petites retouches sur le plan du jeu...
Il faut sauver les soldats Gerrard et Torres Pour l'ancien entraîneur du Bayern Munich, Liverpool se repose trop sur les performances de Steven Gerrard et Fernando Torres. Pour lui, il est impossible de laisser constamment les rênes à ces deux joueurs, il conviendrait de recruter des joueurs pouvant apporter un «plus» sur le plan qualitatif, histoire de les dédouaner. Un meneur de jeu et un deuxième attaquant de classe mondiale pourraient donner un nouvel élan aux Reds, selon Klinsmann.
Insuffler un petit supplément d'âme tactiquement Pour éviter toutes chutes à l'arrière notables dans le jeu, Jurgen prône un zeste de fraîcheur tactique. Autrement dit, des joueurs capables d'accélérer le rythme du jeu à tout moment avec un atout indispensable: la créativité. A croire que les joueurs de Rafa Benitez sont tout sauf imaginatifs sur le terrain... L'âme charitable allemande pense que Liverpool ne possède donc pas toutes les armes pour lutter avec les grosses écuries de la Premier League. Il lui faut donc aller de l'avant. A coup sûr, Benitez que l'on dit sur la sellette, appréciera la démarche. On se pince déjà à rêver d'un rendez-vous entre les deux protagonistes autour d'une «cup of coffee» en mode 4-4-2 ou 4-3-3. C'est selon... La vérité dans tout ça? C'est que Klinsmann piaffe d'impatience à l'idée de prendre la place de son très cher collègue...