Noël Le Graët ont passé une bonne partie de la journée ensemble, hier, pour discuter de l’avenir du sélectionneur des Bleus. Retour sur la journée en quelques détails marquants.
Blanc a demandé quatre ans Nombreux étaient ceux qui estimaient que Laurent Blanc, résigné, allait annoncer à Noël Le Graët qu’il souhaitait stopper là son aventure avec l’équipe de France. Mais finalement, la volonté de Laurent Blanc a été toute autre. La longueur du rendez-vous laissait déjà entendre que l’on discutait plutôt prolongation que rupture. RMC croit même en savoir les détails, puisque Laurent Blanc réclamerait pas moins de quatre ans de contrat alors que Noël Le Graët, de son côté, n’en proposerait que deux.
Blanc a mangé à la cantine de Jacques Chirac Laurent Blanc s’est accordé une petite pause déjeuner, sans Noël Le Graët, après la première partie des négociations. Et pas n’importe où ! Dans le restaurant favori du président Chirac. « Je n’étais pas présent aux discussions. Je n’en connais précisément la teneur. Les deux hommes m’ont semblé extrêmement sereins. Laurent était très détendu. On a déjeuné ensemble dans un restaurant du 15e où le président Chirac allait aussi. Je ne l’ai pas senti soucieux ou torturé par des questions sur son avenir. C’est un garçon qui a de la distance sur tout », a confié Philippe Tournon, chef de presse des Bleus, à RMC.
Et les journalistes ont eu droit à de la pizza Tout le monde ne peut pas manger au restaurant de Jacques Chirac. Les journalistes présents sur place ont attendu toute la journée pour avoir LE scoop. Alors, forcément, ça creuse. Mais la FFF a été plutôt sympa sur ce coup-là, faisant livrer des pizzas spécialement pour eux à l’heure du déjeuner.
Blanc-Le Graët, rencontre à trous Si les deux hommes sont restés bien longtemps à la FFF, ils n’ont pour autant pas passé toute la journée ensemble, Noël Le Graët ayant « d’autres obligations » d’après Blanc, le président de la FFF a dû s’absenter. Mais alors, que faisait Blanc pendant ce temps-là ?