Pourquoi toujours lui ? Parce que Balotelli enchaîne les frasques, mais ne donne jamais sa version des faits. Aujourd’hui en sélection nationale, l’attaquant des Citizens revient sur ses déboires passés dans la presse italienne.
« Je fais des choses surprenantes, parfois amusantes, mais je ne suis pas un barjot ». Balotelli n’en peux plus d’être la cible de toutes les moqueries. Si jusqu’ici, l’avant-centre italien était resté muet, il profite de sa grande forme actuelle pour rétablir sa vérité. Il continue : « Quand tu es célèbre, les gens s'intéressent plus à ta vie privée, ça me fatigue tout ce qu'on dit sur ce sujet ». Pour ça, il est préférable d’éviter les jets de fléchettes, les feux d’artifice, les chasubles, et pleins d’autres étrangetés…
Actuellement en sélection nationale, Balo est revenu sur un problème récurrent en Italie, le racisme : « J'ai choisi l'Italie pour représenter mon pays. Le racisme est de l'ignorance, j'espère simplement que certaines choses ne se répéteront plus ». Quoi qu’il en soit, l’avant-centre de Manchester City exclut un retour dans le Calcio : « La Série A a perdu du terrain, la Premier League est un grand championnat et je joue dans l'équipe la plus forte ».
Mario conclut l’interview en abordant le sujet délicat de la mafia. Aperçu en compagnie d’un des chefs de la Camorra, il affirme ne pas connaître cette personne et prétend être parti quand il a aperçu « des sachets de drogue sur une table ».
Un vrai barjot, lui, serait resté…