Christian Prudhomme, le patron du Tour de France, va dévoiler le parcours de l’édition 2024 mercredi en fin de matinée. Il devrait révéler plusieurs surprises ou innovations de taille, comme analysé précédemment par le10sport.com, notamment en montagne. Mais en plaine, il pourrait bien réserver une dernière grande surprise…
C’est aujourd’hui mercredi, en fin de matinée, que Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, présentera officiellement le parcours de l’édition 2024. Elle devrait réserver un certain nombre de surprises et d’innovations, comme analysé précédemment par le10sport.com.
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Plusieurs innovations déjà au menu…
Certaines sont connues, comme le final à Nice au lieu de Paris, JO 2024 obligent, avec une avant-dernière étape de haute montagne dans l’arrière-pays avant un chrono final autour de la ville. D’autres ne sont pas encore officielles, comme l’existence de deux passages bien distincts dans les Alpes (le premier dès la quatrième étape au sortir du Grand départ en Italie, le second en dernière semaine jusqu’à l’arrivée dans les Alpes Maritimes), le retour de deux arrivées mythiques dans les Pyrénées au Pla d’Adet puis au Plateau de Beille, ou encore un passage au sommet de l’Europe, au Col de la Bonnette (2802 mètres) avant une arrivée à Isola 2000 le vendredi en troisième semaine.
Un parcours à la Paris-Roubaix s’invite sur la route de Troyes ?
Cependant, le parcours pourrait encore réserver une surprise de taille. En effet, si l’on en croit les éléments apportés par le site velowire.com, qui enquête et traque les moindres éléments filtrés ici ou là en amont de la révélation du parcours, l’étape du dimanche 7 juillet, a priori entre Colombey-Les-Deux-Eglises et Troyes, pourrait contenir des passages sur des chemins de vignes, à l’image des Strade Bianche en Italie ou du final de Paris-Tours. En effet, sur le même terrain, le Tour de France féminin 2022 avait emprunté ces fameux chemins de terre… L’hypothèse apparaît donc plausible sans être certaine. Si elle se confirmait ce midi, cela apporterait assurément du piment à la fin de la première semaine, qui prendrait alors des allures de Paris-Roubaix… De quoi créer mouvements, incertitudes et écarts parmi les grands favoris.