Vendredi 9 juin Novak Djokovic a remporté sa demi-finale à Roland-Garros face à Carlos Alcaraz. Alors que tout le monde s'attendait au match de l'année, cela s'est finalement fini en pétard mouillé. L'Espagnol s'est blessé au début du troisième set, finissant la rencontre sur une jambe. Mais pour Alex Corretja, cela n'enlève rien au mérite du Djoker, qui a poussé à bout l'Espagnol.
Avec l'absence de Rafael Nadal, la course au titre final à Roland-Garros était beaucoup plus ouverte que d'habitude. Malheureusement avec le hasard du tirage au sort, deux des principaux favoris étaient placés dans la même partie de tableau et ne pouvaient donc s'affronter qu'en demi-finale et non pour le titre. C'est ainsi que vendredi 9 juin, Carlos Alcaraz défiait Novak Djokovic pour une place en finale.
Il n'y a pas eu match entre Alcaraz et Djokovic
Les deux hommes passaient les tours successifs et s'affrontaient donc comme prévu en demi-finale à Paris. Un match de titan entre Alcaraz numéro 1 mondial et Djokovic numéro 3. Personne ne pouvait dégager clairement un favori et le choc promettait du côté de la Porte d'Auteuil. Alors que l'affrontement était très bien parti avec un set pour chaque joueur, Alcaraz se blessait au début de la troisième manche. Derrière, l'Espagnol ne pouvait pas jouer pleinement libéré et devait subir le courroux du Serbe qui remportait les deux derniers sets.
Roland-Garros : Il l’annonce, une catastrophe est possible pour Djokovic https://t.co/9J17p0b6Lw pic.twitter.com/hIp2PeZLUf
— le10sport (@le10sport) June 10, 2023
Pour Alex Corretja, tout le mérite revient à Djokjovic
À en croire certains, le mérite revient seulement à Djokovic qui a imprimé une cadence folle face à Alcaraz. C'est l'avis d'Alex Corretja, ancien numéro 2 mondial en 1999, comme il l'a déclaré à Eurosport. « Dans ce genre de match, il y a énormément d’émotions qui peuvent vous traverser. Vous y pensez deux jours avant. C’est dommage que Carlos ait coincé physiquement, mais tout le mérite en revient à Novak à mon avis. En plus du stress d’avant‐match, il l’a poussé physiquement à la limite dès le début de la rencontre en imprimant une intensité folle. »