JO RIO 2016 - Basket - Batum : «Michael Jordan m’envoie des textos !»
Alexis Bernard -
Rédacteur en chef
Footballeur presque raté, j’ai choisi le journalisme car c’est l’unique profession qui permet de critiquer ceux qui ont réussi. Après avoir réalisé mon rêve de disputer la Coupe du Monde 2010 (en tribune de presse), je vis de ma passion avec le mercato et les grands événements sportifs comme deuxième famille.

Nicolas Batum réalise l’une des meilleures saisons de sa carrière avec les Charlotte Hornets. Avant de se lancer dans les playoffs NBA, le basketteur du Team Caisse d’Epargne a reçu les caméras de Stade 2. L’occasion de découvrir sa formidable ascension.

À 27 ans, Nicolas Batum prend une toute autre dimension. Après avoir débarqué à Charlotte pour porter la tunique des Hornets, le Français explose et réalise la meilleure saison de sa carrière. Les caméras de France Télévisions ont pu s’en rendre compte en suivant, pas à pas, le quotidien du basketteur de la Team Caisse d’Epargne. Un reportage qui permet de comprendre l’ascension prise par le Normand ces derniers mois.

« Avec les Hornets, je ne me suis pas trompé »

Pragmatique, Nicolas Batum évoque le plus grand changement de son transfert à Charlotte : « Avec les Hornets, je ne me suis pas trompé (...) Ce qui me change, c’est la météo… 30 degrés au mois de mars, c’est la première fois que ça m’arrive. Ayant grandi en Normandie, déménagé en Sarthe et joué dans l’Oregon, le soleil, ce n’était pas mon truc (rire) ». Un clin d’œil à ses origines, dont il est fier, et qu’il représente dès qu’il le peut lors des différentes opérations de la Team Caisse d’Epargne. Malgré sa notoriété grandissante et les enjeux économiques grandissants, Batum reste le même. La saison prochaine, le joueur le plus utilisé par Charlotte pourrait devenir le sportif français le mieux payé du monde avec un contrat de 20 millions de dollars par saison. La décision est entre les mains d’un certain Michael Jordan, propriétaire des Charlotte Hornets. Une légende vivante avec qui Batum a tissé un lien particulier : « C’est une icône, légendaire et interplanétaire, mais de la côtoyer quasiment au quotidien, je l’ai « normalisé ». Tout le monde le voit en tant que dieu et, clairement, c’est un dieu du Basket. Mais pour moi, maintenant, je lui parle, il m’envoie des textos ! J’ai un rapport avec lui totalement différent ». Pour découvrir le reportage de Stade 2 sur Nicolas Batum, cliquez sur l’image https://www.france.tv/france-3/stade-2/ Pour suivre toute l’actualité du Team Caisse d’Epargne, rejoignez le groupe Facebook !

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