Chez Mercedes, le début de l’été a été radieux, avec trois victoires, dont deux remportées par Lewis Hamilton. Lors du Grand Prix d’Azerbaïdjan, le pilote britannique n’a pas réussi à jouer les premiers rôles, ce qu’il explique par un changement de dernière minute sur sa monoplace, qu’il a du mal à dompter.
En difficulté depuis 2021 et la victoire finale de Max Verstappen, Lewis Hamilton a vécu deux saisons galère, sans aucune victoire. Mais en 2024, le pilote britannique a remporté deux Grands Prix et prépare parfaitement son départ de Mercedes. Mais le futur pilote Ferrari, malgré ses 105 victoires en carrière, a encore faim.
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— le10sport (@le10sport) September 19, 2024
«Un des composant a fait l’inverse de ce qu’on voulait»
Dans des propos rapportés par Nextgen-Auto, Lewis Hamilton raconte pourquoi il n’a terminé que neuvième lors du Grand Prix d’Azerbaïdjan : « Il y a beaucoup de raisons différentes. Dans le passé, même cette année, c’était parce qu’on faisait de gros changements. On changeait l’équilibre entre les types de virages par exemple, ou des changements sur les réglages de suspensions. La dernière course, j’aimais la voiture, on a fait de tous petits changements mais un des composants a fait l’inverse de ce qu’on voulait et on ne l’a compris qu’en fin de journée. Le samedi matin, j’avais un sous-virage énorme, alors que la voiture était censée être normale. Mais ce n’était pas le cas. »
«Il nous reste encore sept chances de faire mieux»
« Le week-end avait commencé de manière très positive, j’avais fait beaucoup de simulateur, ce qui n’est pas souvent le cas. Et dès les premiers tours, j’étais dans le rythme. Et d’un coup, ça nous a échappé et ça a été misérable tout le week-end, poursuit Hamilton. On peut l’attribuer à différentes choses, mais tout le monde fait très attention et veut faire au mieux. Tout le monde donne le maximum et ce sera le cas jusqu’en fin de saison. Et si ça ne se passe bien, on ne se laisse pas abattre et il nous reste encore sept chances de faire mieux. »