Ronaldo : «Signer ton arrêt de mort», sa fuite dingue à Paris !
Thomas Bourseau
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Rédacteur
Féru de sport, Thomas a grandi entre le ballon rond du football et le orange du basket, ses deux coups de cœur depuis toujours. Diplômé d’un Master et d’une Licence à l’Institut Européen du Journalisme de Paris, il suit toujours de très près les aventures d’Arsenal et des Los Angeles Lakers.

Avant Cristiano Ronaldo, Ronaldo a fait le bonheur des supporters du Real Madrid l’espace de cinq saisons pendant les années 2000. Pendant son passage dans la capitale espagnole, le Brésilien évitait d’avoir une vie nocturne du côté de Madrid afin de ne pas signer son « arrêt de mort ». C’est pourquoi il partait en catimini à Paris afin d’y faire la fête, loin des journalistes espagnols.

Entre 2002 et 2007, Ronaldo a fait partie des Galacticos aux côtés de Zinedine Zidane, Luis Figo ou encore David Beckham. Pendant ces cinq années, le champion du monde 1994 et 2002 a bien profité tant sur le terrain qu’en dehors. Toutefois, la vie nocturne madrilène ne l’intéressait pas de par son engagement contractuel avec le Real Madrid.

«Je passais la journée à Paris et le soir, je faisais la fête. A 7h, je prenais un jet pour retourner à Madrid»

C’est du moins ce que la star du football brésilien de l’époque a admis au Charla Podcast. « R9 » faisait en sorte de quitter Madrid de façon régulière pendant le week-end après les matchs dans le but d’aller faire la fête à Paris. « Entraînement le matin, à 10h. Lundi. Si je jouais le samedi, le samedi soir j’allais à Paris. Le dimanche, je passais la journée à Paris et le soir, je faisais la fête. A 7h, lundi, je prenais un jet pour retourner à Madrid. J’arrivais à 9h, entraînement à 10h ».

«Dans la ville où tu joues, soit tu fais la fête chez toi, soit tu évites de trop te montrer»

Foot Mercato a relayé un passage de l’interview de Ronaldo pour Charla Podcast par le biais de son compte X. On peut y voir la fin du témoignage du Brésilien au sujet de ses virées nocturnes à Paris, dans le plus grand des secrets, afin d’éviter de se mettre la presse madrilène à dos en sortant dans la capitale espagnole, si proche de son quotidien au Real Madrid. « Je faisais ça souvent, parce que dans la ville où tu joues, soit tu fais la fête chez toi, soit tu évites de trop te montrer. Aller en boîte dans la ville où tu joues, c’est signer ton propre arrêt de mort ! » .

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