Alors que l’OM a mené une très large revue d’effectif, aucun joueur ne semblait être intransférable. Surtout pas Amine Harit qui n’entrait pas dans les plans de Roberto De Zerbi et qui semblait même promis au départ avec l’arrivée en prêt de Valentin Carboni. Et pourtant, l’international marocain fait un excellent début de saison, et après la victoire contre Toulouse, il revient sur son été mouvementé.
Durant le mercato, l'OM a mené une incroyable revue d'effectif recrutant pas moins de onze nouveaux joueurs, ce qui a forcément engendré de nombreux départs, mais certains Marseillais se sont accrochés à l'image d'Amine Harit. Longtemps annoncé sur le départ, notamment avec l'arrivée de Valentin Carboni, l'international marocain réalise pourtant un excellent début de saison et a été titularisé lors des trois premières journées. C'était donc le cas vendredi soir lors de la victoire de l'OM contre Toulouse (3-1), à l'issue de laquelle Amine Harit est d'ailleurs revenu sur son été mouvementé.
Mercato : Il se lâche sur son transfert à l’OM ! https://t.co/gvZcScPpY3 pic.twitter.com/cwkKoG2zm1
— le10sport (@le10sport) September 1, 2024
Harit revient sur son mercato agité
« Je l'ai vécu tranquillement. On sait comment marche le monde du football aujourd'hui. Il se dit énormément de choses, tout n'est pas toujours vrai, tout n'est pas toujours faux », lance le meneur de jeu de l’OM en zone mixte avec le match, avant d’en rajouter une couche.
«Je me sens bien dans cette équipe»
« Mais non, j'étais tranquille, j'étais dans mon coin, je travaillais, j'ai beaucoup parlé avec le coach, je sais ce qu'il pense de moi et non, personnellement je suis content, je me sens bien dans cette équipe, dans cette manière de jouer avec les joueurs qu'il y a autour. On m'a toujours fait la réflexion par rapport aux statistiques, donc j'essaie de travailler par rapport à ça, mais l'important ce n'est pas l'individuel, c'est de prendre du plaisir collectivement. L'individuel vient tout seul. Je trouve que quand ça se passe bien collectivement, les buts, les passes décisives, ça vient tout seul », ajoute Amine Harit.