Régulièrement annoncé sur le départ, Julian Alvarez, dont le nom circule du côté du PSG et de l'Atlético de Madrid, a de nouveau répondu à Pep Guardiola, qui avait lui même déjà réagi à une déclaration de son attaquant qui se plaignait de son temps de jeu. L'attaquant argentin a de nouveau ouvert la porte à un départ de Manchester City, tout en précisant qu'il attendra la fin des JO.
Dans l'ombre d'Erling Haaland à Manchester City, Julian Alvarez a récemment ouvert la porte à un transfert. « Je ne me suis pas posé pour réfléchir clairement à ce que je vais faire pour mon avenir », confiait l'attaquant argentin, rappelant qu'il espérait jouer plus dans les grands rendez-vous. Cela n'a pas manqué d'être commenté puisque Julian Alvarez est très convoité sur le mercato notamment par le PSG et l'Atlético de Madrid. Une sortie qui n'a toutefois pas totalement plu à Pep Guardiola qui avait rapidement réagi.
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— le10sport (@le10sport) July 31, 2024
Guardiola-Alvarez, ça chauffe !
« Je savais qu’il a dit qu’il y réfléchirait. Quand il aura fini d’y réfléchir, son agent appellera Txiki et nous verrons ce qui se passera. Je sais qu’il veut jouer des moments importants, oui. Mais les autres aussi. 18, 19 joueurs veulent aussi jouer les grands matchs. J’ai lu qu’il voulait y réfléchir, d’accord, qu’il y réfléchisse et après, il nous informera de ce qu’il veut faire. Il joue beaucoup, il en veut plus ? Très bien. Qu’il y réfléchisse. Quand il aura réfléchi, il nous informera », confiait le technicien espagnol au sujet de son attaquant.
Alvarez en rajoute une couche
Et Julian Alvarez en a rajouté une couche en répondant à son entraîneur. « J'ai entendu ce que Pep a dit. Je n'ai rien dit de mauvais ou d'inhabituel. J'ai toujours dit que je me sentais bien à Manchester City, mais il est logique de faire le point après la saison. Je ne me suis pas arrêté pour réfléchir à froid. Quand les Jeux olympiques seront terminés, je réfléchirai calmement à ce que je veux pour moi. Nous verrons ce qui se passera ensuite », lâche-t-il dans des propos rapportés par MARCA.