Mercato - PSG : Sarkozy rêverait de la présidence
La rédaction

Alors que son retour sur le devant de la scène politique pourrait se faire avant les élections présidentielles de 2017, Nicolas Sarkozy aurait un autre objectif, très différent, en tête : devenir président du PSG. Explications.

Ce n’est un secret pour personne, Nicolas Sarkozy est un grand supporter du PSG. À ce titre, l’ancien chef de l’état assiste très régulièrement aux rencontres du côté du Parc des Princes, rendant souvent visite aux joueurs dans les vestiaires après le match. Mais son avenir pourrait, à plus ou moins long terme, être associé à celui du PSG comme l’annonce l’hebdomadaire L'Express.

LE PSG, UN RÊVE CACHÉ ?

En cas d’échec pour son retour en politique dans le cadre des élections présidentielles de 2017, Nicolas Sarkozy rêverait de prendre la présidence du PSG. Une envie qu’il n’aurait jamais dissimulée depuis plusieurs années comme l’explique le média français. 6 février 2010, alors que le club de la capitale s’incline lourdement face à Lorient au Parc des Princes, Nicolas Sarkozy aurait notamment déclaré à l’issue de la rencontre : « Plus tard, je serai président du PSG ! ». Une phrase qui n’avait jusqu’ici pas spécialement retenu l’attention des journalistes présents, mais ce plan de reconversion de Nicolas Sarkozy serait à prendre au sérieux.

« SI JE NE SUIS PAS ÉLU EN 2017 »

L’ancien président de la République aurait lancé à son fils Louis durant l’été la phrase suivante : « Si je ne suis pas élu en 2017 », laissant comprendre que la politique demeurait sa priorité absolue avant le PSG. Toutefois, de nombreux paramètres entrent en ligne de compte dans ce dossier, à commencer par la situation de l’actuel président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi. Ce dernier, mis en place par QSI en 2011, obtient pour le moment les résultats escomptés par les investisseurs qataris, et son adaptation aux coutumes et à la langue française a été jugée remarquable. Reste donc à savoir si cette ambition cachée de Nicolas Sarkozy sera avérée dans les années qui viennent, et surtout si ses rapports privilégiés avec le Qatar lui suffiront à se frayer un chemin jusqu'à la tête du PSG

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