Les dirigeants parisiens ont tenu à éviter que se reproduise avec Alphonse Aréola le scénario d’un départ libre en fin de saison, à l’instar d’Adrien Rabiot. Explication.
Depuis plusieurs mois, il était acquis, au-delà des discours officiels tenus alors par son entourage et de l’optimisme de façade de la direction du club, qu’Adrien Rabiot quitterait le PSG libre en fin de saison pour s’engager dans un grand club européen, qu’il s’agisse de Barcelone ou de la Juventus. Dans les bureaux du PSG, on aurait pu enregistrer un second départ libre cette année avec celui d’Alphonse Areola, qui arrivait lui aussi en fin de contrat.
Le PSG à l’épreuve du dossier Cavani
Là où la situation de grand espoir du football mondial d’Adrien Rabiot ne laissait quasiment aucune chance au PSG de le prolonger dans sa dernière année de contrat, tant les grands clubs européens allaient vouloir saisir l’occasion, celle d’Alphonse Areola, tout de même moins coté sur le marché, offrait plus de marge de manœuvre aux dirigeants parisiens, qui sont parvenus à trouver un accord avec le joueur pour prolonger. Au sein de l’état-major parisien, on veille désormais à éviter que le cas Rabiot ne se reproduise avec Edinson Cavani, qui n’aura plus qu’un an de contrat en juin prochain. En clair, comme l’Uruguayen n’a pas été approché pour une prolongation, sa mise sur le marché cet été est quasiment acquise.