Mercato - PSG : «Le Barça ne cesse de butter sur la même pierre, entre Marquinhos et Verratti»
Y.M.

Alors que le FC Barcelone serait contraint de tirer un trait sur Marco Verratti, un journaliste espagnol dresse un constat accablant sur les intérêts récurrents du club catalan pour des joueurs du PSG. 

Les périodes de mercato passent et se ressemblent pour le FC Barcelone. Les dirigeants Blaugranas ont en effet souvent essayé de recruter des joueurs en provenance du Paris Saint-Germain, en vain. Annoncés dans le viseur du Barça par le passé, Thiago Silva, Marquinhos ou encore plus récemment Marco n'ont finalement pas rejoint le club catalan. Interrogé sur Sport, le directeur adjoint du journal espagnol Xavier Ortuño a d'ailleurs expliqué qu'il était compliqué de recruter un joueur au PSG.

« Le Barça a encore une fois pu vérifier que partir à la pêche aux joueurs du PSG était synonyme de déception »

« Le Barça a encore une fois pu vérifier que partir à la pêche aux joueurs du PSG était synonyme de déception. C’est comme affronter un ennemi chez lequel vous ne pouvez pas entrer, par aucun un flanc. Le PSG est un club qui n’a pas besoin de vendre, qui ne change pas ses vignettes d’album, et conserve la même posture. Ces dernières années, le Barça ne cesse de butter sur la même pierre, entre Thiago Silva, Marquinhos et Verratti. A chaque fois le même scénario, le joueur ouvre la porte, et le Cheikh entre en action pour rapidement la fermer. Ainsi, le jour même de la reprise de l’Italien, la persuasion a été assez forte pour qu’il annonce son renoncement. Ces 90 secondes mettent fin aux espoirs de le voir blaugrana la saison prochaine. Etant donné les expériences précédentes avec le PSG, on peut être surpris que le Barça se soit lancé dans un tel voyage sans garantie. On a l’impression que le Barça s’est mis en marche sans connaitre le chemin menant à la cime. On savait que partir en quête de Verratti, c’était comparable à la montée de l’Everest. Et on a cette impression que le Barça est parti en manches courtes sans savoir qu’il fallait de l’oxygène en altitude », a confié Xavier Ortuño.

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