Paul Pogba entrevoit enfin la lumière au bout du tunnel. D’abord menacé par une suspension de quatre ans suite à un contrôle positif à la déhydroépiandrostérone (DHEA), le milieu de terrain tricolore pourra finalement refouler les pelouses dès mars 2025. La semaine passée, le journaliste ivoirien Malick Traoré a lâché une bombe en révélant des discussions entre l'OM et l'international français.
Coup de théâtre pour Paul Pogba ! Suspendu dans un premier temps pour quatre ans après un contrôle positif à la déhydroépiandrostérone (DHEA), le milieu français a vu sa sanction réduite à 18 mois par le Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Résultat : il pourra rechausser les crampons dès mars 2025. Une lueur d’espoir pour le champion du monde 2018, mais l’incertitude plane toujours sur son avenir sportif. La Juventus, avec qui il est toujours sous contrat, semble avoir déjà tourné la page. Selon plusieurs sources, le club turinois envisagerait une résiliation à l’amiable, laissant ainsi Pogba libre de s’engager où il le souhaite. À bientôt 32 ans, l’ex-meneur des Bleus devra trouver une nouvelle destination pour relancer sa carrière. Et il pourrait rebondir du côté de l'OM.
Dopage : De retour, Pogba déballe tout sur son calvaire ! https://t.co/lxpX98oEom pic.twitter.com/aVVTPOG41L
— le10sport (@le10sport) October 14, 2024
Evra envoie Pogba à l'OM
Patrice Evra avait d'ailleurs lancé les hostilités sur RMC. « Il veut jouer au football, où que ce soit, par exemple pourquoi pas l'OM ? Je vais appeler Mehdi Benatia et lui dire que la porte est ouverte », avait confié l'ancien joueur de l'OM. Jeudi, un journaliste est allé plus loin en révélant l'existence de discussions entre les deux parties.
La bombe est lâchée !
D’après les informations de Malick Traoré, l’Olympique de Marseille serait en pourparlers avancés avec l’entourage de Paul Pogba en vue d’un transfert dès le mercato hivernal. Les échanges entre les deux parties auraient débuté depuis plusieurs semaines, ouvrant la voie à une possible arrivée du champion du monde sur la Canebière en janvier. Une véritable bombe.