Samedi dernier, l’OM a mis fin au suspense en annonçant que Roberto De Zerbi serait bien son entraîneur la saison prochaine, lui qui est sous contrat jusqu’en juin 2027. Jérôme Rothen voit cela comme une bonne nouvelle, le club marseillais pouvant enfin avoir un peu de stabilité sur son banc.
Dans un communiqué adressé aux membres du programme Peuple bleu et blanc samedi, l’OM a rassuré ses supporters. Après la visite de Pablo Longoria, Medhi Benatia et Roberto De Zerbi aux États-Unis afin d’y rencontrer Frank McCourt, le club marseillais a annoncé que le technicien italien serait bien son entraîneur la saison prochaine.
« Quand ils ont pris De Zerbi avec ce staff élargi, ils voulaient s’inscrire dans la continuité »
« Ces deux jours d’échanges ont permis de consolider et de réaffirmer l’unité des dirigeants autour d’une vision commune, essentielle à la pérennité du projet lancé à l’été 2024 », a indiqué l’OM. « Place désormais à la préparation de la saison 2025-2026, avec un engagement et un alignement total de l’ensemble des dirigeants du club, déterminés à relever les défis passionnants à venir, au premier rang desquels celui d’installer durablement le club en Ligue des champions, saison après saison. »
« Il a toujours eu la confiance de ses dirigeants »
« C’est une bonne nouvelle. Quand ils ont pris De Zerbi avec ce staff élargi, ils voulaient s’inscrire dans la continuité, la stabilité avec ce coach en laissant l’opportunité à De Zerbi et son staff de réaliser de grandes choses à moyen terme », a estimé Jérôme Rothen dans Rothen s’enflamme sur RMC. « C’est sûr qu'à Marseille avec la pression de ce club les résultats doivent arriver ce qui a été le cas. Il y a eu des piqûres de rappel dans le fait de mettre ces idées en place, le fonctionnement du club. Lui a aussi découvert ce que c’était l’OM un club avec une énorme ferveur, je pense qu’il n’avait pas connu ça dans ses autres expériences. Ça l’a dépassé par moment, mais il a toujours eu la confiance de ses dirigeants. Pour moi c’est une bonne nouvelle mais à la fois ça m’interpelle d’être obligé d’aller aux Etats-Unis, de rencontrer McCourt avec Benatia et Longoria et d’essayer de clarifier des choses. »