Mercato : L’OM doit gérer un énorme chantier
Jules Kutos-Bertin -
Journaliste
Tout petit, je m’étais promis d’avoir un métier en accord avec le football. Très vite, j’ai pris conscience que mes pieds ne suffiraient pas pour m’emmener là où je le voulais alors le journalisme est devenu une évidence.

Cet été encore, l’OM va devoir recruter plusieurs latéraux. Un chantier qui se répète saison après saison dans la cité phocéenne puisque actuellement, Jonathan Clauss est le seul latéral de métier. Thierry Correia est notamment pisté, trois ou quatre spécialistes du poste sont attendus au total.

Avec le départ de Sead Kolasinac qui n’était pas vraiment prévu, l’OM doit faire face à un chantier de taille : celui des latéraux. Actuellement, dans l’effectif marseillais, il n’y a que Jonathan Clauss comme latéral de métier. Et encore puisque l’international français a très souvent évolué en tant que piston dans un système à trois défenseurs axiaux. Quoi qu’il en soit, Clauss sera sûrement amené à prendre le flanc droit de la défense, à moins que Marcelino ne l’aligne en tant qu’ailier.

L’OM sonde Thierry Correia

En attendant, l’OM scrute le marché des latéraux, une priorité vu les besoins qu’a Marcelino à ce poste. Selon les informations du journal L’Équipe, Thierry Correia, le joueur de Valence, serait toujours l’un des joueurs pistés par l’OM. L’avantage de ce profil est que Marcelino le connaît bien puisqu’il l’a rapidement eu sous ses ordres à Valence. Connaissant Pablo Longoria, d’autres cibles sont forcément étudiées.

Déjà un effectif à reconstruire

L’an dernier, l’OM avait rebâti ses côtés en faisant venir Jonathan Clauss, Nuno Tavares et Issa Kaboré. Le premier est le seul qui devrait s’inscrire sur la durée avec l’OM. Tavares, qui a eu beaucoup de mal en deuxième partie de saison, est retourné à Arsenal où il ne devrait pas faire de vieux os. Beaucoup trop cher pour l’OM, Issa Kaboré va revenir à Manchester City où il ne devrait également pas rester. En bref, les dirigeants marseillais vont devoir se creuser les méninges pour offrir à Marcelino trois ou quatre latéraux performants. Une mission périlleuse mais jouable.

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