Déjà poussé vers la sortie l’été dernier et alors que son contrat prendra fin en juin 2025, Chancel Mbemba espère quitter l’OM lors du prochain mercato hivernal, après avoir repoussé les avances de Montpellier le mois dernier. Cependant, comme c’était déjà le cas cet été, le club veut à tout prix récupérer une indemnité de transfert.
Comme depuis le début de la saison, Chancel Mbemba a profité de la trêve internationale pour rejouer. Mis de côté par l’OM, l’international congolais (85 sélections) continue d’être appelé en sélection et a évoqué sa situation à Marseille au micro de Canal+ Afrique, après la défaite de la RD Congo face à la Guinée (1-0).
Mercato - OM : Rabiot a recalé un club historique https://t.co/wPKzT28xxJ pic.twitter.com/Uxibb4RMYh
— le10sport (@le10sport) November 19, 2024
L’OM veut une indemnité de transfert pour Mbemba
« J’ai un contrat avec Marseille. J’espère partir en janvier, quand Dieu le veut. Mais quand Dieu ne décide pas… Ce sont les humains. Les humains sont compliqués, chacun regarde ses intérêts. Mais le plus important, c’est de faire notre boulot pour satisfaire tout le monde », a déclaré Chancel Mbemba. Comme indiqué par L’Équipe, l’OM est vendeur, mais ne facilitera pas le départ de son joueur et attend une indemnité de transfert en contrepartie. Tout porte à croire qu’il faudra attendre la fin de son contrat, en juin prochain, pour le voir quitter Marseille.
Mbemba a recalé Montpellier fin octobre
L'Équipe indique par ailleurs que Chancel Mbemba a repoussé les avances de Montpellier fin octobre, espérant trouver une meilleure destination en janvier. Avant cela, en fin de mercato estival, le défenseur âgé de 30 ans aurait pu prendre la direction d’Al-Shabab, qui lui proposait un contrat de deux ans très lucratif. Chancel Mbemba voulait partir libre, quand l’OM attendait une indemnité de transfert, et son départ en Arabie Saoudite a donc capoté. En raison de leurs relations glaciales depuis quelque temps et du conflit qui les oppose depuis cet été, quand le joueur a été deux fois mis à pied, les deux parties ne semblent vouloir se faire aucun cadeau.