Mercato - Liverpool/PSG/Real Madrid : Ce prétendant qui juge le prix de Sterling à 140 M€ !
La rédaction

Alors que l’avenir de Raheem Sterling agite la presse anglaise depuis plusieurs mois, Manuel Pellegrini, entraîneur de Manchester City, a évoqué le cas de l’attaquant de Liverpool.

Formé à Liverpool, Raheem Sterling a littéralement explosé au plus haut niveau la saison dernière aux côtés de Luis Suarez, Philippe Coutinho et Daniel Sturridge. De plus en plus responsabilisé dans le système de jeu des Reds, l’attaquant international anglais de 20 ans (13 sélections) fait beaucoup parler de lui cette saison, lui qui joue la montre pour une éventuelle prolongation de contrat. Ce qui n’a pas manqué d’attirer l’attention du PSG, du Bayern Munich, du Real Madrid et de Manchester City notamment…

« STERLING ? PEUT-ÊTRE, SI TU VAS VOIR LIVERPOOL AVEC 140M€ »

Or, dans un entretien accordé au Daily Mail, Manuel Pellegrini, l’entraîneur des Citizens, a fustigé le marché des transferts anglais, estimant que les joueurs anglais étaient devenus hors de prix. « C’est important d’avoir des joueurs anglais, mais est-ce qu’on peut les recruter ? Vous parlez d’essayer d’arracher des joueurs à des clubs qui ne les vendront pas. Disons que vous voulez acheter Luke Shaw : 50M€ pour un arrière gauche. Je ne suis pas sûr d’avoir payé autant d’argent pour avoir Clichy et Kolarov. Pouvez-vous avoir Sterling ? Peut-être, si tu vas voir Liverpool avec 140M€. Si je veux un Anglais à la place de David Silva, qui est là ? Peut-être Rooney, mais qui d’autre ? », a-t-il déclaré.

« ENTRAÎNER EN ARGENTINE, C’EST À LA VIE À LA MORT »

L’entraîneur chilien a ensuite évoqué sa situation actuelle, en faisant notamment référence à son passage à la tête des clubs argentins de San Lorenzo et de River Plate. « N’importe quel entraîneur qui a entraîné un grand club en Argentine peut entraîneur n’importe où dans le monde. Ici, la pression est normale. Là-bas, c’est tous les jours, c’est à la vie à la mort. Je n’ai jamais eu de problème avec la pression parce que je crois dans mes capacités », a-t-il indiqué.

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