Le Paris Saint-Germain a signé plus d'une star depuis le rachat du club par les propriétaires qataris toujours en place. En 2011, Javier Pastore a lancé les hostilités et aurait pu signer à Chelsea si un rêve ne l'avait pas incité à signer en faveur du PSG. Explications.
A l'été 2011, le PSG lance son projet QSI après être passé sous pavillon qatari. La première recrue « star » n'était autre que Javier Pastore. El Flaco débarquait de Palerme contre un chèque de 42M€, rien que ça. Et l'histoire derrière son transfert est unique puisque la décision de l'Argentin de rejoindre le Paris Saint-Germain a été poussée par un rêve effectué quelques jours avant l'annonce de son transfert dans la capitale.
OM : Un coup de gueule est lâché pour le défendre après le PSG https://t.co/6uOWUeOYqs pic.twitter.com/lsYTZOWxMi
— le10sport (@le10sport) November 1, 2024
«Je rêve que je suis avec ma femme que je marche, je regarde la Tour Eiffel»
Ces dernières heures, six ans après son départ du PSG, Javier Pastore a fait le récit de son processus de réflexion avant son transfert à Paris. « Tout le monde m'appellait, toutes les équipes, tout le temps, tous les jours. J'ai dit : écoute, c'est fini. J'ai dit à mon agent : laisse-moi tranquille une semaine et la semaine d'après, on va décider où j'irai jouer. Il se passe deux ou trois jours, je dors et je rêve que je suis avec ma femme que je marche, je regarde la Tour Eiffel et que je suis à Paris ».
«J'appelle mon agent et je lui dit : écoute, j'ai décidé, on va au Paris Saint-Germain»
Pour Canal Supporters, l'ex-meneur de jeu a par la suite communiqué sa décision qui était irrévocable à son agent qui n'a pas compris ce choix hâtif. « Je me lève comme ça à 3 heures ou 4 heures du matin, j'appelle mon agent et je lui dit : écoute, j'ai décidé, on va au Paris Saint-Germain. C'était comme ça. Et mon agent me dit : tranquille, il y a Chelsea qui veut... Je dis non, non c'est décidé. Demain matin quand je voyage et on va signer à Paris. J'ai les frissons qui me reviennent toujours parce que je suis toujours ce que je ressens en moi ». Le reste appartient à l'histoire.