Paris FC : Daniel Riolo annonce du lourd pour la Ligue 1
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Quarante-six ans après sa dernière apparition en première division, le Paris FC s'apprête à faire son retour en Ligue 1. Sous la houlette de la famille Arnault, l’autre club de la capitale, désormais voisin du PSG au Stade Jean Bouin, s'apprête à écrire une nouvelle page de son histoire. Daniel Riolo, journaliste chez RMC, exprime son enthousiasme pour ce projet.

Quarante-six ans après sa dernière saison en première division, le Paris FC va retrouver l’élite en août, avec de très belles ambitions. L’autre club de la capitale, qui évoluera au Stade Jean Bouin, à quelques pas de l’antre du PSG, a changé de main il y a quelques mois avec son rachat par la famille Arnault, première fortune de France. Daniel Riolo ne cache pas son enthousiasme en évoquant le projet.

« Il y a tout à faire »

« D’un point de vue business, l’histoire qui est en train de s’écrire est absolument passionnante pour la famille Arnault, car il y a tout à faire, tout à créer : le marketing, la communication, le sportif, confie le journaliste de RMC, invité du Figaro TV. Le club est en Ligue 1, donc il existe dorénavant, sportivement, mais toute la marque, raconter l’histoire… »

« Je trouve que le projet est absolument passionnant »

« Il va falloir créer toute cette histoire, le positionnement lié au PSG », poursuit Daniel Riolo, qui ne croit pas à « la fameuse histoire qu’on trouve dans certaines capitales avec le club riche et le club pauvre » en affirmant que « le PFC de la famille Arnault ne sera pas le club pauvre » face au puissant PSG. « Il va falloir inventer une histoire, et je trouve que le projet est absolument passionnant », savoure l’éditorialiste de l’After Foot.

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