Son calvaire prend fin au PSG, il vise du lourd
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

En cette année 2024, Luis Enrique peut compter sur un renfort de taille et très attendu en la personne de Nuno Mendes, qui a retrouvé les terrains pour la première fois le 25 février dernier après dix mois d’absence. Alors qu’il a disputé l’intégralité du quart de finale de Coupe de France face à l’OGC Nice (2-1) mercredi, l’international portugais est revenu sur ses sensations.

Le 25 février dernier, Nuno Mendes retrouvait enfin les pelouses de Ligue 1 à l’occasion de la réception de Rennes (1-1) au Parc des Princes, dix mois après son dernier match. Victime d’une lésion haute de l’ischio-jambier, l’international portugais a dû prendre son mal en patience avant d’enchaîner les rencontres sous les ordres de Luis Enrique. Mercredi, une nouvelle étape a été franchie, Nuno Mendes disputant l’intégralité du match de Coupe de France contre l’OGC Nice (3-1).

« Je ne suis pas encore dans ma meilleure forme »

« Un grand merci aux supporters. Je les aime beaucoup, a réagi Nuno Mendes après la rencontre au micro de France 3, lui qui a reçu une belle ovation de la part du public. Ça fait du bien de revenir après plus de 10 mois. C’est un plaisir ! Je ne suis pas encore dans ma meilleure forme. J’espère faire mieux (sourire). »

« Il faut rentrer sur la pelouse pour gagner tous les matches »

De retour, Nuno Mendes se montre ambitieux : « Ça fait beaucoup de bien, oui. Il faut rentrer sur la pelouse pour gagner tous les matches. C’est notre objectif de rester en lice dans toutes les compétitions. Nous allons le faire. Nous sommes tous ensemble dès le début de match. C’est ce qu'il faut faire l’emporter, il n’y a pas de secret. Nous devons toujours être tous ensemble. Nous sommes tous ensemble dès le début de match. C’est ce qu'il faut faire l’emporter, il n’y a pas de secret. Nous devons toujours être tous ensemble. »

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