Depuis le début de la saison, le PSG peine à enchainer les bons résultats en Ligue des Champions. Malgré tout, le coach espagnol est épargné par les critiques. Après la défaite parisienne face à l'Atlético de Madrid ce mercredi soir, Daniel Riolo a affirmé que Luis Enrique avait créé une secte autour de lui.
Le PSG est au plus mal en Ligue des Champions. Après avoir battu Gérone au Parc des Princes (1-0), le club de la capitale s'est incliné sur la pelouse d'Arsenal (2-0). Opposé au PSV lors de la troisième journée, le PSG a été tenu en échec à domicile (1-1). Et ce mercredi soir, l'écurie présidée par Nasser Al-Khelaïfi est tombée face à l'Atlético de Madrid (1-2).
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— le10sport (@le10sport) November 1, 2024
«Il était capable de créer une secte»
Alors que Luis Enrique est épargné par les critiques malgré le mauvais rendement du PSG en Ligue des Champions, Daniel Riolo s'en est pris à lui dans l'émission l'After Foot. « Il a gourouté 80% des supporters du PSG et 70% des médias. Il a gourouté tout le monde. Cet entraîneur là, c’est un peu comme Mourinho à une époque, il était capable de créer une secte dans laquelle tu entrais et les gens le suivent. Les gens le suivent comme un leader politique. Tu te mets derrière, il peut faire n’importe quoi, ils continueront de le suivre », a déclaré le journaliste de RMC Sport, avant d'en rajouter une couche.
«Les gens le suivent comme un leader politique»
« Dans sa com qui est archi mauvaise face aux journalistes, tout ça est calculé parce qu’elle est excellente à côté, dans ce qu’il dit aux supporters, dans ce qu’ils veulent entendre, dans la façon qu’il a de séduire les gens et en plus avec ce doc où il va fanfaronner où il va pousser des coups et gueule et tout le monde va tomber dans le panneau de ce cirque qui est tellement écrit qu’il faut être un débile pour ne pas le voir. (…) En 2015, tu as Rakitic, Busquets, Iniesta, Neymar, Suarez, Messi au top de leur forme. L’année d’après, en 2016, en quart de finale avec cette équipe-là, il s’est fait fesser par cet Atlético de Simeone. L’année d’après, quand il a fait la remontada, grâce à un arbitre qui a été scandaleux, le tour d’après il s’est fait gifler par la Juve. Avec l’Espagne ça a été bidon. Et les gens sont là comme dans la secte, ils le suivent parce ce gars là rend les gens débiles », a conclu Daniel Riolo.