Mbappé - PSG : Décision radicale de Luis Enrique, il dénonce un problème
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Son départ en fin de saison étant désormais entériné, Kylian Mbappé n’est plus indiscutable au PSG. Luis Enrique a pris la décision de moins faire jouer sa star en Ligue 1, tandis que le principal intéressé a confirmé ce vendredi avoir plus de fraîcheur en raison de son temps de jeu diminué. Toutefois, Bixente Lizarazu a dénoncé un gros problème concernant cette gestion du Français.

En juin prochain, Kylian Mbappé quittera le PSG. De ce fait, Luis Enrique a décidé de préparer l’avenir en Ligue 1, en laissant régulièrement sa star sur le banc. N’étant plus indispensable au sein du onze titulaire parisien, l’attaquant de 25 ans n’enchaîne plus les rencontres autant qu’auparavant.

«Je me sens bien en ce moment»

Si cette gestion de Luis Enrique à propos de Kylian Mbappé a pu faire jaser, le Français a confirmé ce vendredi qu’il possédait une fraîcheur physique certaine : « Ouais, c'est vrai que je me sens bien en ce moment. Pas très fatigué. J'ai du temps », a concédé Mbappé en conférence de presse. Néanmoins, Bixente Lizarazu estime de son côté que la présence sur le banc du capitaine des Bleus s’avère quelque peu excessive.

«Il est difficile de trouver votre rythme»

« C'est vrai : sauter un match de temps en temps, dans des saisons hyper chargées, peut être intéressant. Mais là, je trouvais que Mbappé commençait à devenir vraiment, vraiment frais... », a ainsi expliqué Lizarazu pour l’Equipe. « À un moment, quand vous êtes trop souvent sur le banc, que vous devenez intermittent, il est difficile de trouver votre rythme. Par chance, Mbappé n'a montré aucun état d'âme, ni sentiment de rébellion, à part peut-être à Monaco (le 1er mars) ».

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