Aujourd'hui, Brice Samba fait le bonheur du RC Lens. Mais auparavant, le gardien français a connu d'autres clubs français, à commencer notamment par l'OM. S'il n'a que très peu joué sur la Canebière, Samba a vécu certains moments complètement fous au sein du vestiaire olympien, à commencer notamment par l'énorme vengeance de Joey Barton sur André-Pierre Gignac.
Débarqué à l'OM en provenance du Havre en 2013, Brice Samba sera resté au sein du club phocéen jusqu'en 2017. Une aventure marseillaise loin d'être la meilleure pour le gardien de 29 ans, qui, dans l'ombre de Steve Mandanda, n'aura disputé que 5 matchs en tout sous le maillot de l'OM. Il n'empêche qu'à Marseille, Samba a vécu certains moments complètement fous...
Une star arrive à l’OM, Riolo est sans pitié https://t.co/S4mNFTr8oN pic.twitter.com/q2y9eTLTMs
— le10sport (@le10sport) November 13, 2023
« Ça a pris des proportions incroyables »
A l'occasion d'un entretien accordé au média Carré, Brice Samba a raconté une anecdote de son passage à l'OM. Il a ainsi été question d'une vengeance de Joey Barton sur André-Pierre Gignac, ancienne star du club phocéen aujourd'hui au Mexique. « Mon plus gros fou rire, c’était à l’OM avec Joey Barton et André-Pierre Gignac. Je me souviens que chacun se faisait des blagues et à un moment, ça a pris des proportions incroyables. Gignac a pris le jean de Barton et l’a foutu dans la piscine. Il a dû rentrer en survêtement », a d'abord lâché Samba.
« Barton est venu et à crever les pneus de la Ferrari de Gignac »
Mais Joey Barton s'est par la suite vengé sur André-Pierre Gignac. Et l'ancien joueur de l'OM a été terrible. « Le lendemain, Barton est venu et à crever les pneus de la Ferrari de Gignac. Les mecs n’ont pas de limites, c’est un truc de dingue. C’est le truc le plus dingue que j’ai vécu dans un vestiaire. Crever les pneus, tu ne peut pas rentrer chez toi… Un pneu de Ferrari, je dirais que ça coûte 5000€ le pneu, ça peut aller très vite. Après, Dédé a beaucoup râlé, mais ça s’est arrangé. Steve Mandanda a un apaisé tout cela… », a poursuivi Brice Samba.