Visiblement emballé par l’ambiance au stade Vélodrome, Lucas Ocampos compare l’atmosphère de cette enceinte à celle du public argentin.
Arrivé à l’OM à l’hiver 2015, Lucas Ocampos semble avoir retrouvé au Stade Vélodrome une ambiance aussi chaude qu’en Argentine. C’est en tout cas ce que confesse le milieu offensif marseillais ce lundi dans un entretien dans les colonnes de La Provence. Ocampos, qui ne semble pas avoir été marqué par le public de Louis II avec l’AS Monaco, rend hommage aux supporters de l’OM.
« Cela rapproche Marseille de l’Argentine »
« Le Vélodrome, c’est un peu la représentation de l’Argentine en Europe. J’ai eu la chance de jouer à Monaco, sauf que je n’y ai pas retrouvé cette passion. Au Genoa, c’était assez chaud, mais ce n’était pas la folie comme ici. Et à Milan, c’est plus un théâtre. Les supporters vont au stade pour se divertir. À Marseille, c’est différent. Je ressens la peine de la ville lorsque l’équipe perd. Et inversement lorsqu’on gagne. La saison passée lors de notre parcours en Ligue Europa et après les grands matches que l’on a fait au Vélodrome, la ville était différente, heureuse, illuminée. C’est cela qui rapproche Marseille de l’Argentine », confie Ocampos.