OM : Longoria menacé, il met les choses au clair
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Vendredi, Pablo Longoria a annoncé qu’il ne quitterait pas la présidence de l’OM, et ce après avoir décidé quelques jours auparavant de se mettre en retrait à la suite d'une réunion très mouvementée avec les groupes de supporters du club, au cours de laquelle des menaces auraient été proférées aux dirigeants. Une version que réfute le président des Dodger’s. 

Après sa mise en retrait décidée à la suite d’une réunion houleuse avec les groupes de supporters de l’OM, Pablo Longoria a annoncé vendredi qu’il resterait à la tête du club. De quoi mettre fin à une semaine très éprouvante dans la cité phocéenne, marquée par cette fameuse rencontre au cours de laquelle le président de l’OM aurait été menacé, justifiant sa réflexion concernant son avenir à Marseille. « Faites attention à vos arrières le soir », aurait-on lâché aux dirigeants d’après des propos relayés par Téléfoot ce dimanche.

« Il y a beaucoup de gens qui ont parlé »

Invité de RMC avant le Classique entre le PSG et l’OM, le président des Dodger’s a donné sa version des faits. « Il y a beaucoup de gens qui ont parlé. Le président (Pablo Longoria) aussi, c’est son droit. Je ne veux pas parler beaucoup de cette réunion car c’est la réunion où j’ai le moins parlé. D’habitude il y a toujours deux ou trois leaders dont je fais partie qui prennent la parole mais là, c’est peut-être celle où j’ai le moins parlé depuis 30 ans », confie ChristianCataldo.

« Jamais des menaces de mort n’ont été prononcées. Jamais ! »

Le président des Dodger’s assure par ailleurs qu’aucune menace n’a été entendue au cours de ladite réunion : « J’en ai connu des réunions chaotiques. C’est vrai que le ton est monté, que ça a crié. Jamais des menaces de mort n’ont été prononcées. Jamais ! Tout est parti de là. C’est faux. »

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