Alors que Jacques-Henri Eyraud s’est rendu au Cameroun en juin dernier dans le cadre de la formation de jeunes joueurs africains, Clinton Njie valide cette initiative de la part de son président.
« Je ne vais pas dire une perte mais, Bafé, c'est un ministre, quelqu'un qui a beaucoup aidé les jeunes, a permis à Maxime (Lopez) de s'intégrer facilement, un capitaine qui les a poussés à travailler dur. Tous les jours, Bafé bossait face au but après l'entraînement, vingt, trente minutes de plus. C'était motivant, j'espère qu'on fera pareil avec Valère », expliquait Clinton Njie samedi dans les colonnes de L’Equipe sur le mercato estival de l’OM. Dans ce même entretien, l’attaquant camerounais revient sur la visite de Jacques-Henri Eyraud au Cameroun en juin dernier, aux Brasseries de Douala, dans le cadre de la formation.
« C’est important et motivant »
« J’ai fait quatre saisons là-bas, avant de partir à Lyon à dix-sept ans. Le président m’avait laissé un message pour me prévenir qu’il venait chez moi ! C’est important, motivant pour les jeunes de savoir que des clubs comme l’OM s’intéressent à la formation en Afrique », explique Clinton Njie.