On dit toujours qu'un groupe vit bien lorsque les résultats sont au rendez-vous. Mais cette année, malgré de bonnes performances, au PSG, on a du mal à gérer les égos.
Voir le PSG en haut du classement. Cela n'était plus arrivé depuis de nombreuses années. En plus de ça, le club de la capitale propose un football de qualité. Mais ces résultats sont la plupart du temps acquis par les mêmes joueurs. En effet, Antoine Kombouaré fait souvent jouer son onze type et ça ne plait pas forcément aux remplaçants. Dernière exemple en date, la rebellion de Peguy Luyindula, qui s'est offusqué de ne pas avoir débuté la rencontre en Coupe de la Ligue face à Montpellier.
« Les coups de blues, ça arrive dans tous les clubs »
Alors pour apaiser les esprits, Ludovic Giuly s'est expliqué sur des sujets épineux, tels que l'ambiance du vestiaire parisien et l'affaire Sessegnon, à France Football: « On a géré ça naturellement. Steph', tout le monde l'attendait, c'est comme s'il n'était pas parti. Tout va bien. Il est là, il va jouer. On sait qu'on aura besoin de tout le monde pour réaliser une belle deuxième partie de saison. Après, les coups de blues, ça arrive dans tous les clubs, dans toutes les familles, on n'a pas à juger. Ça m'est arrivé aussi. »
« C'est normal que parfois, ça chauffe un peu plus »
L'ancien barcelonais a voulu rassurer tous les supporters du PSG en affirmant qu'il n'y avait pas de problèmes dans le groupe: « On est 25-30 joueurs dans le vestiaire avec des caractères différents, c'est normal que parfois, ça chauffe un peu plus. On va régler ces petits différends entre nous rapidement. Dans ces cas-là, il faut être soudés, aider la personne et avancer. Mais il n'y a pas de problème. Il faut arrêter de donner le bâton pour se faire battre. »