Vente du FC Nantes : Waldemar Kita lâche une grande mise au point
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Après l’ASSE, il est question d’une vente pour d’autres clubs de Ligue 1. Bien évidemment, les rumeurs continuent encore et toujours de circuler concernant l’OM, mais dernièrement, ça a plus concerné le FC Nantes de Waldemar Kita. Alors que le départ du patron des Canaris est réclamé par les supporters, il n’a visiblement pas l’intention de partir prochainement.

Le FC Nantes va-t-il prochainement changer de pavillon ? Alors que les Canaris sont aujourd’hui la propriété de Waldemar Kita, il a été question ces derniers jours d’une possible vente du club de Loire-Atlantique. Un fonds d’investissement dans lequel est impliqué Trent Alexander-Arnold, défenseur de Liverpool, a même été annoncé comme candidat à ce rachat du FC Nantes. Mais encore faut-il que Kita souhaite vendre…

« Il y a des gens qui m'appellent et qui veulent le club gratuitement »

Ce dimanche, pour L’Equipe, Waldemar Kita a de nouveau mis les choses au point concernant une possible vente du FC Nantes. Le patron des Canaris a alors assuré : « Je n'ai jamais mandaté qui que ce soit et je n'ai jamais été en négociations avec quelqu'un de sérieux. Il y a des gens qui m'appellent et qui veulent le club gratuitement. Ça veut dire qu'ils ne peuvent pas l’entretenir. Je m’imagine à Nantes encore longtemps ? Moi peut-être pas, mais Franck (son fils), oui, donc c'est pareil ».

« Si je pense que quelqu'un peut faire mieux que moi, ça ne me pose aucun problème »

Waldemar Kita a également fait savoir : « Quelles seraient les conditions pour une vente ? Il faut un projet solide et les finances qui suivent. Si je pense que quelqu'un peut faire mieux que moi, ça ne me pose aucun problème. Quand j'ai vendu ma première société, Cornéal, il y a dix-huit ans, c'est parce que je pensais que la personne qui allait l'acheter allait faire mieux. Je lui ai laissé un beau bébé et aujourd'hui, c'est la société numéro 1 au monde ».

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