Selon la presse suédoise, Kylian Mbappé serait visé par une enquête pour viol et agression sexuelle dans un hôtel de Stockholm, où il logeait avec son entourage. Alors qu’il a depuis fait son retour à Madrid en vue de son retour sur les terrains ce week-end, une journaliste suédoise affirme que l’attaquant aurait pu, en l'espèce, être placé en détention.
« La seule chose que je peux vous dire, c'est qu'il n'a rien à se reprocher. La deuxième chose, c'est qu'on ne sait rien ». Au lendemain d’une première prise de parole dans le 20h de TF1, Me Marie-Alix Canu-Bernard, l’avocate de Kylian Mbappé, a fait une nouvelle mise au point sur BFMTV concernant l’enquête pour viol dans laquelle serait impliqué l’attaquant de l’équipe de France selon la presse suédoise. « Lui dit très clairement: 'je n'ai rien à me reprocher' », affirme-t-elle, alors que le quotidien à l’origine des révélations maintient ses révélations.
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— le10sport (@le10sport) October 16, 2024
« Nous savons sans l’ombre d’un doute que c’est Kylian Mbappé le suspect »
« Je veux dire que nous sommes sûrs à 100% que Mbappé est soupçonné de viol. Sans aucun doute », a réaffirmé Katrin Kranz sur BFMTV. Quelques minutes auparavant, c’est au micro de RTL que s’était justifiée la journaliste d’investigation au tabloïd suédois l’Expressen. « Nous ne savons pas s’il l’a fait ou si ça s’est passé, ce n’est pas notre travail. C’est aux policiers et au procureur d’enquêter, mais nous savons sans l’ombre d’un doute que c’est Kylian Mbappé le suspect ».
« Mbappé aurait dû être placé en détention dans un cas comme cela »
« Normalement, Kylian Mbappé aurait dû être placé en détention dans un cas comme cela, poursuit Katrin Kranz sur RTL. Ce qui va se passer maintenant, c’est que la police et le procureur vont interroger des témoins, ils vont tâcher de rassembler des preuves avant de décider s’ils interrogent Mbappé en personne ou à distance par téléphone, je ne sais pas exactement comment ça peut être organisé, sauf bien sûr s’ils décident de classer l’affaire ou s’il n’y a pas d’affaire, on ne sait pas. Ce qu’on sait, c’est qu’il y a des suspicions et qu’elles sont suffisamment fortes pour avoir provoqué l’ouverture d’une enquête. »