Outre le Nouvel Observateur, Paris Match a également été bien renseigné sur ce qu'il s'est passé ce fameux dimanche. Ribéry, Henry, Gallas et Evra auraient joué les caïds. Et les autres n'ont eu qu'à s'écraser.
« Ils nous ont pris en otages ! Qu’est-ce que tu voulais qu’on fasse ?... ». « Meneurs ». « Boss ». « Fouteurs de merde ». Voilà les mots que quelques joueurs de l'équipe de France auraient tenu à leur entourage, selon Paris Match, récemment. Confirmant la rumeur du Nouvel Observateur, Paris Match raconte que quatre joueurs : Ribéry, Henry, Gallas et Evra, auraient fait la loi, décrété d'eux-mêmes que les Bleus ne s'entraineraient pas. « Ce n’était pas la peine de nous réunir pour décider de la suite qu’on allait donner à l’exclusion de Nico, ils avaient déjà décidé de boycotter l’entraînement... », aurait déclaré l'un d'entre eux. Yoann Gourcuff, Hugo Lloris auraient tenté de prendre la parole. Coupés par Ribéry et consorts au bout de quelques mots.« Il n’y avait plus qu’à s’écraser », conclut l'un d'entre eux. On en sait également un peu plus sur le discours de Raymond Domenech dans ce fameux bus. « Domenech a commencé gentil, genre : “Je vous comprends, le départ de Nico est un coup dur.” Mais le ton est vite monté. Puis il est passé à l’argumentaire sportif et il a fini avec des menaces. », raconte un proche d'un des Bleus. Argumentaire inutile, les caïds ayant douché toute tentative de reprendre l'entraînement depuis bien longtemps. « Ribéry, Henry, Gallas et Anelka, les quatre “fouteurs de merde”, ont eu droit, au nom du collectif, à plus d’égards que toute l’équipe réunie et ils se sont foutus de notre gueule à tous. » conclut un membre du staff...