Nasri Gallas je ne lui parle pas
La rédaction

Interrogé par Direct Sport, Samir Nasri confirme qu'il n'a pas la langue dans sa poche. Non, il n'est pas Zidane. Non, il n'aime pas Gallas. Et oui, il est bien content d'avoir loupé la Coupe du Monde en Afrique du Sud.

La Coupe du monde « Je suis content de ne pas y être allé. L'image a été entachée. Sortis au premier tour, le truc de la grève... (...) A la fin de la Coupe du monde et après avoir été traités de petits cons, Karim (Benzema) et moi, on entendait : « Pourquoi on ne les a pas pris ces deux-là, ils auraient pu apporter quelque chose aux Bleus... » Donc tant mieux, je ressors grandi de cette histoire. » Le cas Gallas « Je n'ai pas de problème avec Thierry Henry. J'ai un problème avec William Gallas. (…) Maintenant, Gallas, je ne lui parle pas, je ne lui sers pas la main, je ne lui dis pas bonjour. Dans une biographie, il y a des choses beaucoup plus intéressantes à écrire que la place de quelqu'un dans un bus. Il a 33 ans, j'en ai 23, je ne l'ai pas connu pendant 21 ans, ça ne va pas changer ma vie. » Les comparaisons qui le gonflent « On me trouve vite des parallèles. Le premier, c'était Zidane. Il était vite trouvé. Après, il y a eu Pirès. Maintenant, Xavi ou Iniesta... Il faut arrêter les comparaisons... »