Avec cette double confrontation face à la Géorgie ce soir et face à l’Espagne mardi, les Bleus vont passer dix jours ensemble. Une trêve internationale plutôt « longue » mais qui ne permet pas de tout travailler, notamment les automatismes d’une défense qui se cherche encore. « On est plus dans la tactique collective que dans l’approche défensive, explique Laurent Koscielny dans France Football. Moi, je ne suis pas un grand bavard. J’aime davantage la connaissance ‘pratique’ des choses, de mon partenaire. C’est plus des situations de jeu qui me permettent de dire : ‘Je préfère ceci, je préfère cela’ ».
« Tout le monde donne de la voix »S’il n’est pas un « grand bavard », Koscielny s’accorde à dire qu’il n’y a pas pour autant de leader qui se dégage au sein de la défense : « Tout le monde donne de la voix. Moi, j’ai pour principe que chacun peut être un leader. Que ce soit ‘Mamade’, ‘Pat’ (Évra) ou ‘Debuch’ (Debuchy), qui parlent le plus, l’important est de communiquer son ressenti au bon moment. Il ne suffit pas de gueuler pour s’imposer. Le patron sur un terrain est celui qui sait régler les problèmes le plus vite possible ».