Sidney Govou, dans son «Je ne pensais pas aller si loin» a accusé les femmes de joueurs d'être un facteur de la déroute des Bleus en Afrique du Sud. La confirmation ne s'est pas faite attendre.
Sidney Govou, dans son livre Je ne pensais pas en arriver là affime, outre le jeu médiocre de l'équipe de France lors du dernier mondial en Afrique du Sud, que les femmes des joueurs avaient été l'un des facteurs de la catastrophe de juin dernier. L'ex-femme d'Ulrich Ramé, Virginie, confirme que lors du mondial 2002, le côté bling-bling de ces demoiselles existait déjà.
"Je n'étais pas très bien acceptée"
Virginie s'est exprimée dans Sud Ouest ce vendredi, déclarant que l'attitude de certaines n'avait rien à voir avec ses valeurs. «J'étais la plus gamine. On me parlait de Dolce e Gabbana, Dior, moi mes références à l'époque c'était Pimkie et Promod. À Bordeaux, je me suis dirigée vers les filles les plus simples. En équipe de France, c'était bien pire. Surtout lors du Mondial 2002 en Corée du Sud. Les autres épouses avaient déjà vécu autre chose et leurs maris évoluaient dans de grands clubs étrangers. Je n'étais pas très bien acceptée. On n'évoluait pas dans le même monde. C'était la première fois que je me retrouvais dans des hôtels 5 étoiles et je n'avais pas les mêmes tenues à la mode».