Accusé d’avoir été aperçu en état d’ivresse lors du stage de remise en forme au Qatar avec le Bayern Munich, Arturo Vidal ne compte pas se laisser faire avec ces accusations.
Plus rien ne va au Bayern Munich. Depuis quelques semaines, l’atmosphère chez les Bavarois fait beaucoup parler dans les médias allemands. Après les polémiques autour de l’hygiène de vie de certains joueurs et le départ officialisé pour Manchester City de Pep Guardiola, une nouvelle affaire entache le club munichois. Selon Bild, le milieu de terrain chilien Arturo Vidal serait rentré plusieurs soirs en état d’ivresse lors du stage de remise en forme avec son équipe au Qatar. Déjà coutumier des faits en club comme en sélection, son comportement laisse grandement à désirer…
« J’ai demandé à mes avocats de saisir la justice »
Sur son compte Twitter, l’ancien joueur de la Juventus Turin a pourtant démenti les accusations faites par le journal allemand et compte bien se défendre : « C’est complètement faux, a-t-il écrit sur Instagram. J’ai demandé à mes avocats de se saisir de la justice pour que le journal assume les conséquences de ses mensonges. Je suis impliqué à 100% pour l’équipe et je vais continuer à me préparer pour le reste de la saison, très important pour nous. Merci au club pour son soutien et à tous les supporters qui m’expriment leur soutien et leur tendresse, comme toujours ».
« L'ambiance est bonne, très bonne »
Quelques semaines auparavant, le tacticien espagnol PepGuardiola s’en était ouvertement pris à Vidal et Franck Ribéry lors d’une séance d’entraineur. Selon le journal Kickers, l’ancien entraineur du FC Barcelone aurait critiqué ces derniers d’un surpoids notable et d’une hygiène de vie non adaptée à un footballeur professionnel. Pourtant, Guardiola n’admettait pas la mauvaise ambiance au sein de son groupe en conférence de presse : « C'est impossible de disputer une telle phase retour sans que l'ambiance soit bonne. L'ambiance est bonne, très bonne (…) Quelques joueurs avaient quelques kilos de trop et c'est pour ça que j'ai dit qu'il fallait plus de professionnalisme ».