Riner Jecoute du Celine Dion
La rédaction

Teddy Riner s'est confié avant le Tournoi de Paris. Le Judoka évoque Louis de Funès, assume d'écouter du Sardou et avoue se taper régulièrement des restos avec son pote du PSG Mamadou Sakho.

Dans une interview accordée à RMC avant le Tournoi de Paris Bercy, le judoka Teddy Riner s'est confié sur ses petits plaisirs extra sportifs. Au programme: le PSG, Sardou, De Funès et Mamadou Sakho.

Ses passions à part le judo « J’aime tous les sports, je suis très sportif. Dès que je peux, je n’hésite pas à goûter à un autre sport. Quand j’ai le temps, ça se passe plutôt sur la mer. Je fais du bateau, du quad, du jet-ski, un peu tout ça… »

Le PSG « Partout, dès que je peux, je joue. Même dans la maison. Ça fait longtemps que nous, supporters du PSG, attendions un grand Paris. La dernière grande équipe de Paris date de Ronaldinho. Là, on a vraiment une belle équipe et qui tient son rang. »

Ses amis dans le sport « Le sport est une grande famille. A Paris, j’ai mon pote Mamadou Sakho. Il a fait d’énormes progrès. Dès qu’on a un moment, on échange, on va au restau, on vit notre vie de jeunes. »

Ses petits plaisirs « Tous les matins, avant d’aller à l’entraînement, je me mets devant les dessins animés avec mon bol de corn flakes, mon pain et mes tartines. Cet après-midi, j’étais encore avec mon oncle et on regardait des cartoons, des Tom et Jerry. Il n’y a pas d’âge pour ça. Dans mon armoire, j’ai tous les Walt Disney, Shrek, les films de Bruce Willis et aussi une belle collection de films de Louis de Funès. Lui, c’est respect ! »

Romy Schneider « C’est incontournable avec la maman que j’ai à la maison. Sissi l’impératrice, j’y ai eu droit. »

Sa musique « J’écoute de tout. Mon frère m’aide à choisir. J’écoute du Sardou, il m’arrive d’écouter du Céline Dion, du rap, de la dancehall. Mon petit zouk, c’est très important aussi. Mon casque, c’est ma bulle, ma façon de me concentrer durant les compétitions. »

L'après carrière « J’aurai ma femme et mes enfants, un petit coin de paradis. Je ne me vois pas avoir de patron. Le peu que je gagne maintenant je le mets de côté pour plus tard. Je voudrais m’ouvrir. Etre un peu dans le sport, un peu dans l’immobilier, le commerce... »