Formule 1 : Cet ancien dirigeant de Ferrari qui affiche son optimisme !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Malgré la déception de Ferrari en Australie, Stefano Domenicali assure qu’on en saura plus à Bahreïn sur le potentiel de la Scuderia.

Après avoir largement dominé les essais hivernaux à Barcelone, Ferrari était très attendu à Melbourne pour le premier Grand Prix de la saison. Mais la Scuderia a déçu. Relégué à sept dixièmes de Lewis Hamilton en qualifications, Sebastian Vettel n’a fini que quatrième de la course derrière les deux Mercedes et Max Verstappen. Charles Leclerc quant à lui a terminé juste derrière son coéquipier, mais aurait pu le doubler si Ferrari ne lui avait pas demandé de rester derrière. Ancien patron de l’écurie italienne entre 2008 et 2014, Stefano Domenicali a jugé la situation de la Scuderia.

«Nous verrons bien à Bahreïn où ils se situent réellement dans la hiérarchie»

« Oui, ce fut un week-end difficile pour eux. Je pense que Ferrari n’a jamais réussi à montrer son véritable niveau de performance tout au long du week-end. Mais n’oublions pas aussi que Melbourne est un circuit atypique. C’est pourquoi Bahreïn sera plus révélateur.  En Australie, la Ferrari était juste trop lente. Je ne sais pas si cela venait des pneus, du châssis ou du moteur. Mais si vous analysez les vitesses de pointe et les chronos, il est clair que quelque chose n’allait pas. Mais ils ne doivent surtout pas dramatiser la situation et réagir de manière excessive. Nous verrons bien à Bahreïn où ils se situent réellement dans la hiérarchie, comparé à Mercedes et aussi Red Bull », confie celui qui est désormais à la tête du constructeur italien Lamborghini, dans des propos rapportés par F1i.

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