Zidane : L’improbable intervention de LFI pour le départ de Deschamps !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Au lendemain de l’élimination de l’équipe de France en demi-finale de l’Euro 2024 contre l’Espagne (1-2), la question de l’avenir de Didier Deschamps revient sur la table alors que Zinedine Zidane, désireux de prendre la tête des Bleus, est toujours libre. Un sujet qui passionne le pays, y compris les politiques.

Loin d’être convaincante dans cet Euro 2024, l’équipe de France a chuté contre l’Espagne (1-2) en demi-finale. L’entame avait pourtant été prometteuse avec l’ouverture du score de Randal Kolo Muani, servi par Kylian Mbappé, permettant aux Bleus d’inscrire leur premier but dans le jeu depuis le début de la compétition. Mais Lamine Yamal (21’) puis Dani Olmo (25’) ont rapidement assommé leur adversaire, incapable de réagir.

« Vivement que Zidane récupère l’équipe de France de foot »

Pointé du doigt pour le triste jeu affiché durant la compétition, Didier Deschamps voit de nouveau la question de son avenir se poser. De nombreux supporters rêvent toujours d’une arrivée de Zinedine Zidane sur le banc des Bleus, et Sébastien Delogu partage leur avis. « Vivement que Zidane récupère l’équipe de France de foot », a lancé après le match sur X le député LFI réélu dans la septième circonscription des Bouches-du-Rhône sous la bannière du Nouveau Front populaire.

«  Posez la question à mon président »

Didier Deschamps a quant à lui affiché son agacement au moment d’être interrogé sur son avenir en zone mixte : « (agacé) Vous êtes redoutable. Posez la question à mon président. Moi je vous respecte, essayez de respecter les personnes qui ont des responsabilités. Je ne vais pas répondre à celle-là aujourd'hui, mais vous savez très bien ce que pense mon président. Vous auriez pu très bien ne pas me la poser ».

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