Pays-Bas : lencombrant Monsieur Van Persie
La rédaction

Robin van Persie, qui a clairement pris la place de Klaas-Jan Huntelaar à la pointe de l’attaque néerlandaise, attire le feu des critiques… hors du terrain ! Décryptage.

Garde rapprochée embarrassante
Robin van Persie est une star et comme toutes les stars, il possède un cortège de gardes du corps. A chacune de ses sorties publiques, RVP est collé par un gorille qui écarte tout sur son passage. Une situation de privilégié qui fait jaser au sein même de sa sélection.

Prise de bec avec Huntelaar ?
Patrick Kluivert a cerné le problème en premier : l’ancien attaquant phare des Oranje a peut qu’un fossé se creuse entre Van Persie et Huntelaar et gangrène l’ambiance au sein de la sélection. C’est peut-être déjà le cas puisque la sélection batave a muselé l’attaquent de Schalke 04 pour ne pas parler en conférence de presse. « Il n’est pas nécessaire que nous soyons tous amis pour jouer ensemble et gagner des matchs », a déjà fait savoir Sneijder. Tout est dit.

Le mutisme en conf’ de presse
Le mutisme, c’est quelque chose que RVP connaît bien. L’attaquant d’Arsenal a exigé de ne pas parler devant la presse par peur qu’on lui pose la question qui fâche : va-t-il rester chez les Gunners ? Ou tout simplement a-t-il peur que les journalistes lui demandent pourquoi il a tant gâché en ouverture face au Danemark ?

Un bilan mitigé aux Pays-Bas
Huntelaar peut l’avoir mauvaise : pourquoi est-il écarté d’une place de titulaire alors qu’il a été éblouissant pendant la campagne qualificative ? L’ancien attaquent du Real Madrid affiche des statistiques surprenantes avec 17 buts inscrits en 26 matchs disputés ! Il a même fini meilleur marqueur des qualifs' avec 12 unités. Van Persie plafonne à 16 pions en 41 sélections. Cherchez l’erreur.