Real, Barça, City : ils rêvent de voir Ibrahimovic au PSG !
La rédaction

Depuis son ouverture en juin, le mercato a du mal à bouger, faute d’argent. Le transfert attendu de Zlatan Ibrahimovic au PSG est LA clé du jeu de chaises musicales estival. Explications.

Pourquoi le Barça veut voir Ibrahimovic au PSG En cas de transfert d’Ibrahimovic au PSG, le Barça récupérerait près de 7,1 millions d’euros dans la transaction ! Le Milan AC n’a, en effet, pas encore payé toutes les traites au club espagnol concernant le transfert de l’attaquant suédois il y a deux ans. Le cas est sensiblement le même pour Gianluca Zambrotta, à hauteur de 666 000 euros. 7,1 millions d’euros, ce n’est pas une somme sur laquelle cracheraient les dirigeants blaugrana, qui viennent d’en débourser 14 pour attirer Jordi Alba et veulent encore un « défenseur central polyvalent ». Avec cette manne financière, il serait tout de suite plus simple à trouver.

Pourquoi City veut voir Ibrahimovic au PSG S’il se sépare d’Ibrahimovic, le Milan AC va forcément formuler une offre à Manchester City pour Edin Dzeko ou Carlos Tévez, les deux attaquants en tête de la liste rossonera. Avec un chèque rondelet (Dzeko pourrait partir pour 20ME€), l’arrivée de Robin van Persie pourrait être facilitée. Il s’agit de l’objectif n°1 des Citizens. Le goleador néerlandais aurait d’ailleurs déjà pris contact avec Arsenal pour des premières discussions. Il ne reste plus qu’à plancher sur les modalités financières et ce n’est pas le plus simple.

Pourquoi le Real veut voir Ibrahimovic au PSG Là aussi, tout est lié. Le Real veut Luka Modric et n’attend qu’une chose : vendre Kaka. Le Brésilien fait partie de l’« Operacion Salida » décrétée par José Mourinho et seul le Milan AC semble prêt à consentir des efforts pour le recruter. La vente conjointe d’Ibrahimovic et Silva aiderait à un retour de l’enfant prodige. L’ancien Ballon d’or, prêt à s’asseoir sur une bonne partie de son salaire, aurait la certitude d’être titulaire puisqu’il a les tifosi, Silvio Berlusconi et Adriano Galliani dans la poche. C’est exactement ce qu’il lui faut pour se montrer à deux ans de la Coupe du monde, chez lui, au Brésil.