Annoncé proche du PSG, pour reprendre le flambeau en cas de départ de Laurent Blanc, Jürgen Klopp serait le « rêve secret » de Silvio Berlusconi, président du Milan AC.
La liste des successeurs de Laurent Blanc ne cesse de s’allonger. Après Diego Simeone, suivi de près par le Paris Saint-Germain comme vous le révélait en exclusivité Le 10 Sport, c’est le nom de Jürgen Klopp qui aurait été coché par les dirigeants parisiens. Le coach du Borussia Dortmund pourrait quitter la Bundesliga à la fin de la saison, en cas de relégation de son équipe et les dirigeants du PSG verraient en lui l’homme capable d’opérer le saut de qualité au Parc des Princes.
« GALLIANI ET SACCHI SONT SOUS LE CHARME DE KLOPP »
Le Paris Saint-Germain n’est pas le seul sur les traces de l’ancien joueur de Mayence. À en croire les informations de Tuttosport, Jürgen Klopp serait le « rêve secret » de Silvio Berlusconi, patron du Milan AC. « Galliani et Sacchi sont tombés sous le charme de Klopp après l’avoir vu au Juventus Stadium, pour le match de Ligue des Champions » a déclaré une source proche du club lombard. « Le coach du Borussia a mis sur pieds une équipe compétitive, sans dépenser des milliers d’euros. De plus il serait un excellent aimant pour attirer encore plus de supporters à San Siro ». Après une période délicate, le Borussia Dortmund commence à redresser la barre en Bundesliga. De quoi arriver à retenir l’Allemand ?
AUBAMEYANG VEUT QUE KLOPP RESTE
Si le Borussia Dortmund se sauve et réussit à rester en Bundesliga la saison prochaine, il est fort possible que les dirigeants du club fassent des pieds et des mains pour garder Jürgen Klopp, artisan du doublé des Borussen en championnat en 2011 et 2012. D’ailleurs du côté des joueurs on n’a pas envie de voir partir le coach allemand, véritable mentor. Lors de la mauvaise passe des Jaune et Noir, Pierre Emerick Aubameyang avait même peur que son entraîneur se fasse virer. « Peur qu’il soit viré ? Oui, c'est la question qu'on se posait, mais ça n'aurait rien changé » a expliqué l’ancien de l’ASSE, dans des propos rapportés par Bild. « Des fois vous enlevez un entraîneur, vous remportez un match ou deux mais ça revient comme avant. On va s'en sortir tous ensemble ».