Les négociations autour d’Adrien Rabiot se compliquent. La rencontre décisive avec l’AS Roma a été annulée et l’avenir du Parisien semble de plus en plus flou.
« Chaos total autour de Rabiot » titre la presse italienne ce jeudi. Les médias italiens évoquent la situation autour de l’avenir d’Adrien Rabiot, joueur sur lequel plusieurs clubs européens se penchent. Le milieu de terrain, en fin de contrat en juin prochain avec le Paris Saint-Germain, souhaite quitter son club formateur pour trouver un plus grand temps de jeu ailleurs. Mais alors que plusieurs informations le donnaient partant pour l’AS Roma, il semblerait bien que le joueur de 19 ait éveillé l’intérêt d’un autre cador européen.
MANCHESTER UNITED RECHERCHE DÉSESPÉREMENT UN MILIEU DE TERRAIN
L’intérêt de la Juventus et d’Arsenal pour Adrien Rabiot n’est pas nouveau, mais ces deux écuries devront désormais compter sur un concurrent de poids, puisqu’à en croire les informations de Tuttosport, Manchester United serait entré dans la danse pour le milieu de terrain tricolore. Depuis le départ de Paul Scholes, l’entrejeu des Red Devils est toujours en chantier. Marouane Fellaini et Tom Cleverley n’ont pas convaincu, d’ailleurs ce dernier a dû partir à Aston Villa pour trouver un peu de temps de jeu. Michael Carrick et Darren Fletcher sont plus proches de la fin de leur carrière que de la forme de leur vie, ce qui a donc poussé les Mancuniens à se pencher sur le cas du joueur de 19 ans, qui pourrait être une solution d’avenir.
QUI POUR OFFRIR UNE PLACE DE TITULAIRE À UN JOUEUR DE 19 ANS ?
Mais le problème reste toujours le même. Car Adrien Rabiot veut aller plus vite que la musique et exige depuis plusieurs mois une place de titulaire, ou au moins de remplaçant de luxe. Le Paris Saint-Germain ne peut lui offrir cette position, mais ce serait également le cas de Manchester United, de la Juventus, d’Arsenal et de l’AS Roma. En effet lequel de ces cadors européens peut oser installer un jeune de 19 ans au milieu de terrain ? Aucun. L’international espoir pourrait donc ne pas être au bout de ses problèmes, même si un départ au mois de janvier semble de plus en plus sûr.