Décidée à renforcer le milieu de terrain de l’effectif de Thomas Tuchel, la direction du Paris Saint-Germain devrait connaître quelques difficultés dans les dossiers Allan et Tanguy Ndombele qui s’avéreraient couteux, à cause de l’UEFA…
Certes Leandro Paredes a déposé ses valises au Parc des princes cet hiver, mais le Paris Saint-Germain serait confronté au même problème à l’intersaison : dénicher de nouveaux milieu de terrain. En effet, Adrien Rabiot sera en fin de contrat en juin prochain et devrait quitter le club, refusant de signer une prolongation, laissant le champion de France un peu plus diminué dans ce secteur de jeu après le prêt de Giovani Lo Celso au Betis Séville qui lèverait l’option d’achat. Mais pour se renforcer, le PSG devrait investir en masse, une manoeuvre compromise à cause de la menace de l’UEFA qui planerait au-dessus de la présidence parisienne.
Le fair-play financier gros frein aux arrivées d’Allan et Ndombele ?
L’Equipe fait le point sur les intentions du Paris Saint-Germain lors du prochain mercato estival qui résideraient dans la venue de plusieurs renforts au milieu de terrain. Mais dans ses colonnes du jour, le quotidien sportif explique ce jeudi que les pistes les plus chaudes mèneraient à Tanguy Ndombele et Allan, qui disposeraient tous deux d’une valeur marchande avoisinant les 70M€. Un cout particulièrement élevé pour le PSG toujours surveillé par l’UEFA dans le cadre du Fair-Play financier. Pour éviter toute sanction, le comité de direction parisien devrait recruter malin et l’option Ander Herrera, libre de tout contrat cet été, permettrait au club de se renforcer sans un investissement conséquent. Mais les opérations Ndombele et Allan seraient susceptibles de placer le PSG un peu plus dans le collimateur des instances européennes. Reste à savoir quelle solution privilégiera la direction…