Marquinhos est l’homme fort de ce début de saison du Paris Saint-Germain. Le jeune défenseur brésilien souhaite continuer sur sa bonne lancée et « écrire sa propre histoire »… Avec le PSG ?
On prédisait de très mauvaises semaines au Paris Saint-Germain après la blessure au mollet de Thiago Silva face à Naples. Pourtant, en l’absence du capitaine c’est un autre défenseur brésilien qui s’est révélé, en la personne de Marquinhos. Le jeune joueur, arrivé au PSG en 2013 en provenance de l’AS Roma pour près de 30M€, est à créditer de prestations solides, comme face au FC Barcelone (3-2) lors de la deuxième journée de Ligue des Champions. Dans l’ombre de son capitaine et de David Luiz, la jeune garde a su grandir et saisir sa chance.
« GAGNER DES TITRES AVEC LE PSG ET ÉCRIRE MA PROPRE HISTOIRE »
Pourtant ce n’était pas gagné pour Marquinhos, qui a vu justement David Luiz débarquer cet été du côté du Parc des Princes. L’international brésilien est serein et ne semble pas s’en préoccuper. Il pense surtout à répéter les bonnes prestations sous les couleurs du Paris Saint-Germain. « Je veux continuer à réussir à jouer de grands matches et aider l’équipe » a expliqué le défenseur central dans une interview accordée au site officiel du club de la capitale. « Sur le long terme, je veux continuer à être appelé avec la Seleção, gagner encore plus de titres avec le Paris Saint-Germain et écrire ma propre histoire… »
« J’ADORE PARIS ET CELA JOUE SUR MA FAÇON D’ÊTRE SUR LE TERRAIN »
Le jeune brésilien a avoué se sentir très bien à Paris. Alors que l’on pouvait craindre des difficultés à s’acclimater dans un nouveau pays, pour un joueur d’à peine 20 ans, le principal concerné s’est vite familiarisé avec sa nouvelle vie au Paris Saint-Germain. « La vie en dehors des terrains est aussi très importante. J’ai eu la chance de vite me familiariser avec une nouvelle langue, et cela m’a permis de prendre mes marques rapidement » a confié Marquinhos. « Aujourd’hui, je me sens vraiment à l’aise, j’adore Paris et cela joue forcément sur ma façon d’être sur le terrain ».