Bien décidé à mener une révolution en interne afin de relancer le projet QSI, Nasser Al-Khelaïfi a convaincu Leonardo de revenir. Mais avant cela, Arsène Wenger aurait bien pu occuper ce poste.
Six ans après son départ, Leonardo a fait son grand retour. Le Brésilien sera chargé de ramener l'autorité au sein du PSG et de remettre de l'ordre en interne après le passage d'Antero Henrique durant deux ans. Mais avant Leonardo, c'est le nom d'Arsène Wenger qui a circulé pour occuper un poste important dans l'organigramme du club de la capitale. Un poste qui aurait plu à l'ancien entraîneur d'Arsenal, mais Charles Villeneuve, ancien président du PSG et très proche d'Arsène Wenger, assure qu'aucune proposition n'a été transmise à l'Alsacien.
«Wenger serait venu. Il aurait accepté sans difficulté»
« On ne lui a jamais demandé, assure l’ancien président parisien (entre mai 2008 et février 2009). Jamais le cheikh, qui l’a rencontré plusieurs fois encore dernièrement, ne lui a dit : ‘Est-ce que vous vous sentez prêt à prendre la direction générale pour essayer de restructurer l’aspect sportif du club ? Je lui en ai parlé plusieurs fois. Il est prêt. Mais encore faut-il qu’on le lui propose ! Il serait venu. Il aurait accepté sans difficulté. Ça, je peux vous le dire et je suis catégorique ! », confie-t-il à RMC Sport. Par conséquent, avant d'attirer Leonardo, Nasser Al-Khelaïfi aurait pu faire un gros coup avec Arsène Wenger.