Mercato - OM : « Amalfitano ? Marseille marche une fois de plus sur la tête ! »
La rédaction

Suite à la vive altercation entre Morgan Amalfitano et Marcelo Bielsa, le coach de l’OM, Denis Balbir n’a pas manqué de tacler le club phocéen.

Prévenu par SMS de sa mise à l’écart, Morgan Amalfitano s’est malgré tout rendu à l’entraînement de l’équipe première jeudi. S’en est suivi une vive altercation avec son entraîneur Marcelo qui a même stoppé la séance du jour. Sur son blog, Denis Balbir, a déploré le comportement du club phocéen dans cette affaire. « Morgan Amalfitano ? "El Loco" vient déjà de justifier ce surnom, car son énervement extrême paraîtra disproportionné par rapport aux événements où l'OM ne peut éviter de se rendre responsable d'une telle situation. On demande aux joueurs de respecter leur contrat, de respecter le maillot, leurs dirigeants, leur staff et leurs supporters et c'est bien normal ».

« VOIR CE QU’ON A VU EST PITOYABLE »

« Voir ce qu'on a vu hier est pitoyable. Voila une équipe de Marseille qui nageait presque dans le bonheur au niveau des résultats lors des matchs de préparation et le premier tournant officiel à Bastia a soulevé des problèmes qu'on ne soupçonnait pas forcément et a mis en lumière que l'ambiance n'est que tension, a indiqué Denis Balbir. Que dire de l'apparition d'un loft dont peu de joueurs sortent gagnants, à moins d'être très fort, et de s'appeler Gomis, Briand ou Bayal Sall pour les plus récents bannis qui ont connu une renaissance exceptionnelle, puisque tous les trois devinrent décisifs dès leur réapparition... en équipe première. »

« BORDURER CHEYROU FAIT MAL AU CŒUR »

« Comme on l'a dit, la manière de faire et les joueurs visés prête à discussion. Bordurer de la sorte quelqu'un comme Benoit Cheyrou fait mal au cœur, a ajouté le journaliste. Le joueur est bon dans tous les sens du terme et il fut notamment un grand capitaine à Auxerre où il était proche de l'Equipe de France. On lui a fait miroiter une reconversion au club et on l'écarte du groupe pro. Marseille marche une fois de plus sur la tête. »

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