Parmi les recrues du PSG, Willian Pacho a été la surprise du chef. Méconnu du grand public, l'international équatorien s'est engagé pour environ 40M€ après une très belle saison à l'Eintracht Francfort. Et pour convaincre le défenseur central, Luis Enrique s'est impliqué dans les négociations, au point que son discours ait même fait la différence pour le transfert de Pacho.
Cet été, le PSG a recruté quatre joueurs, dont un défenseur central méconnu du grand public, à savoir Willian Pacho qui a débarqué pour 40M€ en provenance de l'Eintracht Francfort afin de compenser les blessures de Lucas Hernandez et Presnel Kimpembe. Comme révélé par le10sport.com, Luis Campos suivait l'Equatorien depuis très longtemps.
Mercato : Le PSG va annoncer une signature capitale ! https://t.co/DO2m2l2D6G pic.twitter.com/RLu3PLiiVs
— le10sport (@le10sport) August 27, 2024
Comment Luis Enrique a convaincu Pacho
Et selon les informations du Parisien, le conseiller sportif du PSG a d'ailleurs pris les choses en main en s'entretenant avec Willian Pacho par visioconférence afin de lui faire comprendre qu'il était sa grande priorité à ce poste. Une fois ce travail effectué, Luis Enrique est entré en scène. Le technicien espagnol, comme il le fait à chaque fois, a contacté Willian Pacho afin de lui présenter son projet. Comme il l'avait déjà affirmé, l'entraîneur du PSG a ainsi assuré à l'Equatorien qu'il avait besoin de joueurs qui ont faim afin d'intégrer une équipe qui se bat pour tous les trophées. Un discours qui a clairement charmé le défenseur central.
Des négociations rapides avec Francfort
Une fois que le joueur avait été convaincu à l'idée de signer au PSG, les négociations sont allées très vite avec l'Eintracht Francfort, et ont été menées en toute discrétion, ce qui a abouti à un transfert qui a crée la surprise. Mais Willian Pacho semble déjà s'être parfaitement intégré à Paris. Ses deux premiers matches en Ligue 1 ont d'ailleurs été convaincants. Par conséquent, Luis Enrique semble avoir contribué à un très joli coup sur le mercato.